Ahcène Mariche est né le 21 février 1967 à Tala Toulmouts dans la commune de Tizi Rached à l’est de la ville de Tizi Ouzou en grande Kabylie. Issu d’une famille modeste et jalouse de sa culture. Baignant dans un climat où la culture règne en maître, l’hérédité aidant car son grand-père maternel Ali n SAID était poète troubadour et une maman qui l a toujours bordé avec l’ ACEWIQ et les chants anciens .
Les gènes de poésie ont surgit en l’âme de AHCENE avec les compositions qu’il a signées en étant lycéen en classe de 2ème AS à Larbaa Nath Irathen.
Les années 80 avec leur lot de revendications et le marasme qui y régnait a été un autre ingrédient pour la bonne cuisine de notre Ahcène. Dans sa poésie il multiplie les saveurs, les regards, les analyses et se permet même de nouvelles approches et d’autres angles d’approche dans ses visions poétiques.
Très calme de nature et attentif il prend toujours le soin de bien observer, mâcher ses mots…
Très à l écoute de sa société, très critique dans son regard, imaginatif à l’extrême il pousse loin ses idées et nous convie à chaque fois à faire avec lui des voyages inédits voire des odyssées.
Il est professeur de physique, cameraman et photographe, il mêle et entremêle la science à la littérature, l’image et le son, les rêves et la réalité qu’il traduit en juste mots pour dire et écrire…
La touche psychanalytique, surréaliste, humaniste… sont omniprésentes dans ses œuvres. Son expérience dans l’enseignement, les fréquents voyages qu’il ne cesse d’effectuer un peu partout et ses fréquentations multiples d’horizons différents lui sont d’un grand apport.
Au niveau de sa famille on retrouve une grande école où plein de professeurs se retrouvent : du professeur de civilisation américaine aux professeurs de lettres arabes passant par le journalisme et même le droit dans toutes ses branches, ainsi qu’un professeur d’histoire, s’ajoute à cela l’élément catalyseur qu’est les sciences physique qu’il aime à fond.
Les débats au sein de la famille sont omniprésents avec tout ce que cela entend comme regards croisés sur les choses de la vie qui suscitent leurs attentions.
Jaloux de sa langue maternelle le Tamazight, il écrit avec ; mais en guise de lui donner d’autres ailes, il traduit ses poèmes en plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’arabe, l’italien, l’allemand, l’espagnol, le japonais ,le chinois et le danois .
Même vers des contrées lointaines, il a fait parvenir ses pensées comme pour leur dire qu’on est là, et leur ouvre l’armoire de notre culture ancestrale qui n’a rien à envier aux autres cultures et est au diapason de l’évolution et de la modernité.
Dès le jeune âge ,son oreille est devenue telle une ventouse qui se colle à son poste radio pour écouter sa radio fétiche : la radio chaîne 2. Il visita les locaux de son monde imaginaire en 1977, et depuis, il a tissé les liens qui lui on permit de revenir à plusieurs reprises en tant qu’invité d’émissions. Il était membre du groupe Thilelli qui soutenait les producteurs et animateurs de ladite radio par des avis, conseils, recherches…
Ses rencontres avec plusieurs artistes de renom : Cherif Kheddam, Nouara, Ait Menguellet, Medjahed Hamid, Malika Domrane, Cherif Hamani, Farid Ferragui, ali meziane, ont été des stimulants de taille pour une carrière qu’il n’imaginait guère. Il a animé plusieurs soirées et galas avec d’autres chanteurs : Taleb Tahar, Moh Oubélaïd, Kamal Bouyakoub, Hacène Ahres, Idir Bellali, ALILOU…
Etant au collège Laïmèche Ali de Tizi Rached, entre 1979 et 1983, ses professeurs découvrirent en lui le germe de l’écriture et son amour pour la culture. Une fois au lycée Abderrahmane El Ilouli à larbaa nath irathen qui a vu naître les : Matoub Lounès, Izri Brahim, Amghid, …. malgré une orientation en série science, en 1983, notre Ahcène trouva le milieu propice. Les festivités l’inspirèrent jusqu’à prendre part et devient même l’animateur. Il fit connaissance avec un autre lycéen amateur de chants « Hacène Ahres » avec qui il activait et prirent un chemin d’animations.
En septembre 1986, il entra à l’institut technologique de l’éducation pour devenir un professeur de physique. Là aussi, les activités culturelles lui collèrent à la peau et a même osé chanter à maintes reprises lors des soirées qu’il a organisées. Encouragé par tous les camarades, les professeurs et les amis, son stylo s’est mis à faire couler ses larmes bleues et à constituer son premier registre qu’il ne montrait qu’aux intimes.
Ayant obtenu son diplôme, en septembre1988, il entama une carrière dans l’enseignement au collège de Tizi Rached, comme professeur de physique. Très communicatif, la mission lui a été très facile. Deux années plus tard, il crée avec ses amis un club de correspondances et voyages au niveau du centre culturel de Tizi Rached où plusieurs activités furent organisées pour la promotion de la jeunesse et de la culture.
La rencontre avec un journaliste de www.kabyle.com a changé sa vie puisque il lui a ouvert les portes d’un vaste monde, celui de l’Internet. Il fut contacté par un professeur à l’université de Corvalis aux Etats-Unis d’Amérique pour publier son poème Sidi Valentin dans la célèbre anthologie « TO TOPOS ». Au printemps 2005, son poème fut publié.
La chaîne de télévision « Canal Algérie » lui a ouvert les portes à maintes reprises dans son émission : Bonjour d’Algérie, où il déclama quatre poèmes en quatre langues pendant son premier passage, puis dans l’émission TV RAMA.
L ENTV lui a consacré un reportage dans SAIF EL DJAZAIR durant le l été 2006 et deux passages durant l ‘année 2005
La radio chaîne 2 découvre son poème Sidi Valentin et l’invita à l’occasion de la fête des amoureux pour déclamer ses poèmes, et Sidi Valentin fut une première dans la poésie kabyle le 13 février 2004 dans l émission de Slimane Belharet. Comme il a été l’invité de kamel si mohamed dans son émission Aawaz d umedyaz à trois reprises en 2005 et 2006. Mouloud ALEK ne le rata pas a l ‘occasion de la saint valentin 2006 où il l’invita à son émission le jour même de la fête des amoureux
La presse écrite lui a réservé plusieurs articles et interviews dans : Le Matin, La Nouvelle République, Le Citoyen, Côte Ouest, Liberté, L’_Expression, Le Soir d’Algérie, Akher Saâa, La Dépêche de Kabylie.
On y trouve aussi ses poèmes sur plus d’une quinzaine de sites Internet et autre blogs : www.kabyle.com, www.KabyleS.com, www.berberescope.com, www.vospoemes.com, www.oasisdesartistes.com …
Pour mieux présenter son œuvre et consacrer tout l’espace qu’il faut, il crée un site Internet : ahcenemariche.free.fr où il livre ses poèmes, photos, articles et interviews et même un livre d’or.
Très ouvert, communicatif, il ouvre son cœur , tout le monde et écoute tout le monde.
Voyant que son message a pu atteindre des milliers d’auditeurs, lecteurs et téléspectateurs, et devant l’insistance de ces derniers à découvrir ses autres produits, il a édité son premier recueil de poésie intitulé : Id Yukin (Les Nuits Volubiles) composé de trente deux poèmes en kabyle traduits en français et compte 113 pages où il aborde divers thèmes : l’amour dans tous ses états, la femme, le rêve, la paix, la beauté, la nuit, la vérité, l’ingratitude.
Tantôt réaliste tantôt surréaliste, il sais épouser les nuances de l’arc-en-ciel de ses états d’âme qu’il traduit en mots, en vers puis en poèmes.
Apprécié, 11 mois plus tard, il édite son deuxième recueil qu’il a intitulé jalousement : Taâzzult-iw (Confidences et Mémoires) composé pour sa part de 25 poèmes et compte 122 pages.
Le Haut Commissariat à l’Amazighité lui a publié six poèmes en Kabyle dans un recueil intitulé « Tibhirt n yimedyazen », publication collective pour 14 poètes en septembre 2005.
L’écrivain et chercheur Youcef Merahi lui a consacré deux pages dans son CD « Digest Kabyle » édité en mai 2006 et qui paraîtra sur papier dans quelque temps.
La chaîne de télévision BERBERE TV lui a consacré plusieurs passages dans l emission ITIJ N TMURT de ALI HADJAZ et l’émission tamurth iw de AHMED DJENNADI
Restant sur la même longueur d’onde il nous propose cette fois d’autres pulsations et frondes avec des sujets originaux portant son analyse habituelle : l’aiguille, la négligence, la jalousie, paroles de nuit, mon père, face au miroir, la montre, le destin aveugle, Zivka…
Son viatique reste toujours plein. Plus de 300 poèmes attendent leur tour pour être édités.
Ne se contentant pas du papier uniquement, il trouve une idée originale, transcrire ses poèmes avec de la peinture sur la soie qu’il met en cadres et constitue une exposition de 40 tableaux en quatre langues qu’il expose un peu partout et décore avec les plateaux de télévision à chacun de ses passages.
Poussant son imagination aussi loin que possible, il a conçu une carte de vœux spéciale Saint-Valentin sur laquelle s’y trouve son poème dans un décor assez original conçu par son ami l’infographe Djamel Beggaz, et qui a été une très belle surprise pour les jeunes kabyles à l’occasion de la fête des amoureux 2006.
En juillet 2006, la Chaîne de télévision nationale (ENTV) lui a consacré un reportage sur toute son œuvre artistique diffusé dans l’émission « Saif El Djazair » (Eté d’Algérie).
En Août 2006 ,il a été invité a la rencontre entre artsites peintres et poètes EL IBDAE TAWAM EL HOURIA organisé par la bibliothèque nationale à Tipaza du 15 au 25 Août où ses poèmes furent reproduits en tableaux par les artistes Saliha khelifi et Noureddine zekara qui sont offerts au musée de tipaza.
Ahcène a participé a plusieurs activités culturelles un peu partout : les racontes-arts de beni yenni, l hommage aux artistes d’azeffoun, l hommage à cheikh el hasnaoui, l’hommage a cherif kheddam, la fête du tapis d’ ait hichem, le deuxieme et troisieme salon de la litterature amazighe et de l’audiovisuel organisés à Bouira en septembre 2005 et à Oran en mai 2006par
le H C A
Il a animé un café littéraire et exposition de ses tableaux à la bibliothèque nationale algérienne de la hamma le 23 novembre 2005 ainsi qu’un récital poétique à l’occasion de l a saint valentin 2006 le 14 février 2006comme il a animé des réctals poétique dans les campus universitaires de tizi ouzou ,blida et bejaia et l ‘etablissement ART ET CULTURE d ‘alger
Biographie de Ahcène Mariche
Ahcène Mariche est né le 21 février 1967 à Tala Toulmouts dans la commune de Tizi Rached à l’est de la ville de Tizi Ouzou en grande Kabylie. Issu d’une famille modeste et jalouse de sa culture. Baignant dans un climat où la culture règne en maître, l’hérédité aidant car son grand-père maternel Ali n SAID était poète troubadour et une maman qui l a toujours bordé avec l’ ACEWIQ et les chants anciens .
Les gènes de poésie ont surgit en l’âme de AHCENE avec les compositions qu’il a signées en étant lycéen en classe de 2ème AS à Larbaa Nath Irathen.
Les années 80 avec leur lot de revendications et le marasme qui y régnait a été un autre ingrédient pour la bonne cuisine de notre Ahcène.
Dans sa poésie il multiplie les saveurs, les regards, les analyses et se permet même de nouvelles approches et d’autres angles d’approche dans ses visions poétiques.
Très calme de nature et attentif il prend toujours le soin de bien observer, mâcher ses mots…
Très à l écoute de sa société, très critique dans son regard, imaginatif à l’extrême il pousse loin ses idées et nous convie à chaque fois à faire avec lui des voyages inédits voire des odyssées.
Il est professeur de physique, cameraman et photographe, il mêle et entremêle la science à la littérature, l’image et le son, les rêves et la réalité qu’il traduit en juste mots pour dire et écrire…
La touche psychanalytique, surréaliste, humaniste… sont omniprésentes dans ses œuvres. Son expérience dans l’enseignement, les fréquents voyages qu’il ne cesse d’effectuer un peu partout et ses fréquentations multiples d’horizons différents lui sont d’un grand apport.
Au niveau de sa famille on retrouve une grande école où plein de professeurs se retrouvent : du professeur de civilisation américaine aux professeurs de lettres arabes passant par le journalisme et même le droit dans toutes ses branches, ainsi qu’un professeur d’histoire, s’ajoute à cela l’élément catalyseur qu’est les sciences physique qu’il aime à fond.
Les débats au sein de la famille sont omniprésents avec tout ce que cela entend comme regards croisés sur les choses de la vie qui suscitent leurs attentions.
Jaloux de sa langue maternelle le Tamazight, il écrit avec ; mais en guise de lui donner d’autres ailes, il traduit ses poèmes en plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’arabe, l’italien, l’allemand, l’espagnol, le japonais ,le chinois et le danois .
Même vers des contrées lointaines, il a fait parvenir ses pensées comme pour leur dire qu’on est là, et leur ouvre l’armoire de notre culture ancestrale qui n’a rien à envier aux autres cultures et est au diapason de l’évolution et de la modernité.
Dès le jeune âge ,son oreille est devenue telle une ventouse qui se colle à son poste radio pour écouter sa radio fétiche : la radio chaîne 2. Il visita les locaux de son monde imaginaire en 1977, et depuis, il a tissé les liens qui lui on permit de revenir à plusieurs reprises en tant qu’invité d’émissions. Il était membre du groupe Thilelli qui soutenait les producteurs et animateurs de ladite radio par des avis, conseils, recherches…
Ses rencontres avec plusieurs artistes de renom : Cherif Kheddam, Nouara, Ait Menguellet, Medjahed Hamid, Malika Domrane, Cherif Hamani, Farid Ferragui, ali meziane, ont été des stimulants de taille pour une carrière qu’il n’imaginait guère. Il a animé plusieurs soirées et galas avec d’autres chanteurs : Taleb Tahar, Moh Oubélaïd, Kamal Bouyakoub, Hacène Ahres, Idir Bellali, ALILOU…
Etant au collège Laïmèche Ali de Tizi Rached, entre 1979 et 1983, ses professeurs découvrirent en lui le germe de l’écriture et son amour pour la culture. Une fois au lycée Abderrahmane El Ilouli à larbaa nath irathen qui a vu naître les : Matoub Lounès, Izri Brahim, Amghid, …. malgré une orientation en série science, en 1983, notre Ahcène trouva le milieu propice. Les festivités l’inspirèrent jusqu’à prendre part et devient même l’animateur. Il fit connaissance avec un autre lycéen amateur de chants « Hacène Ahres » avec qui il activait et prirent un chemin d’animations.
En septembre 1986, il entra à l’institut technologique de l’éducation pour devenir un professeur de physique. Là aussi, les activités culturelles lui collèrent à la peau et a même osé chanter à maintes reprises lors des soirées qu’il a organisées. Encouragé par tous les camarades, les professeurs et les amis, son stylo s’est mis à faire couler ses larmes bleues et à constituer son premier registre qu’il ne montrait qu’aux intimes.
Ayant obtenu son diplôme, en septembre1988, il entama une carrière dans l’enseignement au collège de Tizi Rached, comme professeur de physique. Très communicatif, la mission lui a été très facile. Deux années plus tard, il crée avec ses amis un club de correspondances et voyages au niveau du centre culturel de Tizi Rached où plusieurs activités furent organisées pour la promotion de la jeunesse et de la culture.
La rencontre avec un journaliste de www.kabyle.com a changé sa vie puisque il lui a ouvert les portes d’un vaste monde, celui de l’Internet. Il fut contacté par un professeur à l’université de Corvalis aux Etats-Unis d’Amérique pour publier son poème Sidi Valentin dans la célèbre anthologie « TO TOPOS ». Au printemps 2005, son poème fut publié.
La chaîne de télévision « Canal Algérie » lui a ouvert les portes à maintes reprises dans son émission : Bonjour d’Algérie, où il déclama quatre poèmes en quatre langues pendant son premier passage, puis dans l’émission TV RAMA.
L ENTV lui a consacré un reportage dans SAIF EL DJAZAIR durant le l été 2006 et deux passages durant l ‘année 2005
La radio chaîne 2 découvre son poème Sidi Valentin et l’invita à l’occasion de la fête des amoureux pour déclamer ses poèmes, et Sidi Valentin fut une première dans la poésie kabyle le 13 février 2004 dans l émission de Slimane Belharet. Comme il a été l’invité de kamel si mohamed dans son émission Aawaz d umedyaz à trois reprises en 2005 et 2006. Mouloud ALEK ne le rata pas a l ‘occasion de la saint valentin 2006 où il l’invita à son émission le jour même de la fête des amoureux
La presse écrite lui a réservé plusieurs articles et interviews dans : Le Matin, La Nouvelle République, Le Citoyen, Côte Ouest, Liberté, L’_Expression, Le Soir d’Algérie, Akher Saâa, La Dépêche de Kabylie.
On y trouve aussi ses poèmes sur plus d’une quinzaine de sites Internet et autre blogs : www.kabyle.com, www.KabyleS.com, www.berberescope.com, www.vospoemes.com, www.oasisdesartistes.com …
Pour mieux présenter son œuvre et consacrer tout l’espace qu’il faut, il crée un site Internet : ahcenemariche.free.fr où il livre ses poèmes, photos, articles et interviews et même un livre d’or.
Très ouvert, communicatif, il ouvre son cœur , tout le monde et écoute tout le monde.
Voyant que son message a pu atteindre des milliers d’auditeurs, lecteurs et téléspectateurs, et devant l’insistance de ces derniers à découvrir ses autres produits, il a édité son premier recueil de poésie intitulé : Id Yukin (Les Nuits Volubiles) composé de trente deux poèmes en kabyle traduits en français et compte 113 pages où il aborde divers thèmes : l’amour dans tous ses états, la femme, le rêve, la paix, la beauté, la nuit, la vérité, l’ingratitude.
Tantôt réaliste tantôt surréaliste, il sais épouser les nuances de l’arc-en-ciel de ses états d’âme qu’il traduit en mots, en vers puis en poèmes.
Apprécié, 11 mois plus tard, il édite son deuxième recueil qu’il a intitulé jalousement : Taâzzult-iw (Confidences et Mémoires) composé pour sa part de 25 poèmes et compte 122 pages.Le Haut Commissariat à l’Amazighité lui a publié six poèmes en Kabyle dans un recueil intitulé « Tibhirt n yimedyazen », publication collective pour 14 poètes en septembre 2005.
L’écrivain et chercheur Youcef Merahi lui a consacré deux pages dans son CD « Digest Kabyle » édité en mai 2006 et qui paraîtra sur papier dans quelque temps.
La chaîne de télévision BERBERE TV lui a consacré plusieurs passages dans l emission ITIJ N TMURT de ALI HADJAZ et l’émission tamurth iw de AHMED DJENNADI
Restant sur la même longueur d’onde il nous propose cette fois d’autres pulsations et frondes avec des sujets originaux portant son analyse habituelle : l’aiguille, la négligence, la jalousie, paroles de nuit, mon père, face au miroir, la montre, le destin aveugle, Zivka…
Son viatique reste toujours plein. Plus de 300 poèmes attendent leur tour pour être édités.
Ne se contentant pas du papier uniquement, il trouve une idée originale, transcrire ses poèmes avec de la peinture sur la soie qu’il met en cadres et constitue une exposition de 40 tableaux en quatre langues qu’il expose un peu partout et décore avec les plateaux de télévision à chacun de ses passages.
Poussant son imagination aussi loin que possible, il a conçu une carte de vœux spéciale Saint-Valentin sur laquelle s’y trouve son poème dans un décor assez original conçu par son ami l’infographe Djamel Beggaz, et qui a été une très belle surprise pour les jeunes kabyles à l’occasion de la fête des amoureux 2006.
En juillet 2006, la Chaîne de télévision nationale (ENTV) lui a consacré un reportage sur toute son œuvre artistique diffusé dans l’émission « Saif El Djazair » (Eté d’Algérie).
En Août 2006 ,il a été invité a la rencontre entre artsites peintres et poètes EL IBDAE TAWAM EL HOURIA organisé par la bibliothèque nationale à Tipaza du 15 au 25 Août où ses poèmes furent reproduits en tableaux par les artistes Saliha khelifi et Noureddine zekara qui sont offerts au musée de tipaza.
Ahcène a participé a plusieurs activités culturelles un peu partout : les racontes-arts de beni yenni, l hommage aux artistes d’azeffoun, l hommage à cheikh el hasnaoui, l’hommage a cherif kheddam, la fête du tapis d’ ait hichem, le deuxieme et troisieme salon de la litterature amazighe et de l’audiovisuel organisés à Bouira en septembre 2005 et à Oran en mai 2006par
le H C A
Il a animé un café littéraire et exposition de ses tableaux à la bibliothèque nationale algérienne de la hamma le 23 novembre 2005 ainsi qu’un récital poétique à l’occasion de l a saint valentin 2006 le 14 février 2006comme il a animé des réctals poétique dans les campus universitaires de tizi ouzou ,blida et bejaia et l ‘etablissement ART ET CULTURE d ‘alger